Toutes les bonnes choses ont une fin, et même si cette troisième partie de la saga est celle qui divise le plus les fans, elle clôt un anime légendaire qui restera pour toujours dans le cœur des fans. Mais avant de dire au revoir aux héros qui ont bercé notre tendre enfance, Sangoku et ses amis doivent mettre fin à la menace que représente Boubou pour la Terre et pour l’univers entier.
Boubou restera l’ennemi le plus fort de Dragon Ball Z, bien que ce ne soit pas celui qui effraye le plus. Un coup gros, un coup maigre, un coup tout petit, drôle et ridicule à la fois, il en impose beaucoup moins que Cell, ou le vrai grand méchant de l’histoire : Freezer !
Pour maître Toriyama l’oeuvre aurait dû prendre fin à la mort du tyran, mais l’éditeur du mangaka en a voulu autrement (très certainement en vue des gros dollars que ça pouvait rapporter), et si la saga cyborgs/cell est quasiment du même niveau que la précédente, sa suite est de moins bonne facture pour beaucoup de fans. Moins bonne dans l’écriture, c’est vrai, je partage cet avis, mais pas dans la réalisation. La Toei a atteint un niveau incomparable d’animation, et a donné naissance à plusieurs scènes cultissimes de la saga, dont la mort de Boubou fait évidemment partie.
Il est maintenant venu le temps de dire au revoir à Boubou et ce, de la plus belle des façons : c’est Sangoku qui l’élimine, avec l’aide de tous les terriens, grâce à un plan imaginé par Végéta, et cerise sur le gâteau, avec un kaméhaméha, technique mythique de la saga enseigné par Tortue Géniale dans les prémices de Dragon Ball.
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